J'ai la joie de participer une nouvelle fois au stage Opus 74 - Flaine du 27 juillet au 3 août. Merci à Bertrand Giraud pour cette invitation. J'y enseignerai l'écriture et l'harmonie clavier. Ce cours est ouvert à tous les publics, aussi bien aux débutants qui voudraient découvrir l'écriture qu'aux étudiants qui préparent le concours d'entrée au CNSM. Je ferai travailler ces derniers sur des textes originaux (fugues, quatuors romantiques, chorals) adaptés à cette épreuve.
Fa7cettes
Jean-Philippe Rameau : Platée (1745) - Acte II - Air de la Folie : « Formons les plus brillants concerts (…) Aux langueurs d’Apollon » - Livret : Adrien-Joseph Le Valois d’Orville
Maurice Ravel : Shéhérazade M.41 (1904) - I. Asie - II. La Flûte enchantée - III. L’indifférent
Texte : Tristan Klingsor - Arrangement : Pierre Penisson
Joaquín Rodrigo : « Li Beirut » (1989), mélodie arabe adaptée du Concierto de Aranjuez, pour guitare et orchestre (1939)
II. Adagio - Poème : Joseph Harb - Arrangement : Trio Parhélie
Richard Strauss : Sechs Lieder Opus 37 (1898) - 2. Ich liebe dich - Texte : Detlev von Liliencron
Georges Bizet : Carmen (1875) - Acte III - Air de Micaëla : « C’est des contrebandiers (...) Je dis que rien ne m’épouvante » Livret : Henri Meilhac et Ludovic Halévy
Giacomo Puccini : La Bohème (1896) - Acte III – Air de Mimi : « Donde lieta uscì » Livret : Giuseppe Giacosa et Luigi Illica
Leonard Bernstein : West Side Story (1957) - Acte II – Duo Anita & Maria : « A Boy Like That / I Have a Love »
Texte : Stephen Sondheim - Livret : Arthur Laurents
Michel Legrand : Yentl (1983) - Air de Yentl : « Papa can you hear me »
Texte : Alan et Marylin Bergman
Barbra Streisand : Je m’appelle Barbra (1966) - « Ma première chanson » - Arrangement : Ivan Foucher et Filipe Rodriguez
Fa7cettes
Yara Kasti, direction artistique, scénographie, dramaturgie
Cécile Robineau, illustrations
Maxime Bordessoules, chorégraphies
Nicolas Forin, chef d’orchestre
Eloïse Magat, cheffe de chœurs
Pierre Penisson, arrangement
Si vous aimez l'ambiance feutrée des théâtres de Broadway, alors ce concert est fait pour vous !
Le programme s'articule autour de Un américain à Paris, la pièce emblématique de Georges Gerschwin. L'admiration pour la musique française du compositeur New-Yorkais est bien connue. Cette soirée met donc en miroir la musique de Poulenc, Yvain et celle de Gerschwin et Weill.
Le style classique et les accents "jazzy" de la comédie musicale viennent savamment s'entremêler dans un délicieux mélange.
Sextuor, Francis Poulenc Je chante la nuit, Maurice Yvain, arrangement Pierre Penisson Here I’ll stay (Love live), This is new, My Ship, Saga of Jenny (Lady in the dark), Kurt Weill, arrangements Jean-Christophe Maltot The man I love, George Gershwin, arrangement Pierre Penisson
Suite Un Américain à Paris, George Gershwin, arrangement Jean-Christophe Maltot
Jean-Christophe Maltot, flûte
Catherine Coquet, hautbois
François Tissot, clarinette
Pierre Walter, basson
Emmanuel Tricheux, cor
Charlotte Lesage, percussions
Pierre Penisson, piano
J'ai la joie de participer pour la deuxième fois au stage Opus 74 - Flaine du 16 au 23 juillet. Merci à Bertrand Giraud pour cette nouvelle invitation. J'y enseignerai l'écriture et l'harmonie clavier. Ce cours est ouvert à tous les publics, aussi bien aux débutants qui voudraient découvrir l'écriture qu'aux étudiants qui préparent le concours d'entrée au CNSM. Je ferai travailler ces derniers sur des textes originaux (fugues, quatuors romantiques, chorals) adaptés à cette épreuve.
Solistes de l’Orchestre Colonne en petite formation : deux violons, alto, violoncelle, contrebasse, flûte, hautbois, clarinette, basson, cor, harpe et percussions dirigés par Louise Muller-Monod.
Clair de lune, Claude Debussy Nocturne, Cécilia Arizti Il mio tesoro, Don Giovanni, Wolfgang Amadeus Mozart
Concertino pour flûte et orchestre, Cécile Chaminade Mare nostrum, Bechara El Khoury Shéhérazade, Maurice Ravel
Concert de quinteto avec deux invités exceptionnels : Juanjo Mosalini et Leonardo Teruggi.
Pour célébrer le centenaire de la naissance d’Astor Piazzolla, le conservatoire invite pour une deuxième soirée le bandéoniste Juanjo Mosalini.
Il vous offrira un panorama de cette danse argentine et de sa musique qui a conquis le monde, de la tradition du bal où l’on danse le tango bien sûr (la melodia…) mais aussi la valse argentine (corazón de oro) et la milonga, plus vive (Milonga caida).
Juanjo Mosalini, bandonéon
Nicolas Gros, violon
Cécile de Hann, violoncelle
Leonardo Teruggi, contrebasse
Pierre Penisson, piano
Réservations et renseignements au 02 37 18 26 26 info@chartres-tourisme.com Plein tarif: 10 € – Tarif réduit: 6 €
French-speaking music from Impressionism to Surrealism
The language and music of a country are connected by paths that may not be easily noticed yet are very real. Thus, the delicate character of French music owes much to the equally sensitive prosody of the French language – something that is immediately noticeable in Debussy’s ethereal songs. Of course, French poetry can be successfully served by any artist who is able to listen closely and become aware of its meanings and beauty. One such artist was the late composer Thanos Mikroutsikos. The concert is complemented by Ravel’s Quartet, which may not have been judged worthy of the Rome Prize yet has won a place in the pantheon of the great quartets.
Claude Debussy: The Songs of Bilitis, for voice and string quartet (transcription: P. Penisson, 2021)
Maurice Ravel: String quartet in F major
Thanos Mikroutsikos: Nuit avec ombres en couleurs (“Night with coloured shadows”), suite for mezzo-soprano and string quartet (texts: P. Willems)
J'ai l'honneur d'être invité par Bertrand Giraud à participer au stage Opus 74 - Flaine du 17 au 24 juillet. J'y enseignerai l'écriture et l'harmonie clavier. Ce cours est ouvert à tous les publics, aussi bien aux débutants qui voudraient découvrir l'écriture qu'aux étudiants qui préparent le concours d'entrée au CNSM. Je ferai travailler ces derniers sur des textes originaux (fugues, quatuors romantiques, chorals) adaptés à cette épreuve.
Clip de Noël des élèves du conservatoire de Chartres
Variation sur le thème Let it snow de Jule Styne.
Brahms: sonates et trio
Musée des Beaux-Arts
jeudi 19 novembre 2020, 20h30
Reprogrammation du concert du 19 mars
Trio pour Alto, Violoncelle et Piano Op. 114
Lors de sa visite à la Cour Ducale en mars 1891, Brahms eut l’occasion d’entendre le clarinettiste Richard Mühlfeld et fut profondément fasciné par son jeu, au point qu’il appela Mühlfeld sa « son cher rossignol ». Peu de temps après Brahms écrivit la partition du trio op. 114. Adolf Menzel, peintre historique, était dans le public lors de la première représentation, le 12 décembre 1891, avec Robert Hausmann au violoncelle et Brahms au piano. Il fut tellement ému qu’il dit à Brahms « nous pensons beaucoup à vous ici, et en songeant à cette œuvre, nous soupçonnons que la Muse elle-même est apparue une nuit ». Le mois suivant, ils triomphèrent dans la première création publique à Berlin. La partie de clarinette est souvent tenue par l’alto, qui, de part sa sonorité à la fois intérieure et profonde, tient à merveille le rôle dévolu à cette voix si particulière. L’esprit général de l’œuvre est plutôt sombre, incluant des aspects romantiques et introspectifs. Eusebius Mandyczewski, disciple et ami de Brahms, écrivit à propos de ce trio « c’est comme si les instruments étaient amoureux les uns des autres ».
Sonate pour Violoncelle et Piano Op. 38
La sonate op. 38 est la première des deux sonates pour violoncelle et piano de Brahms. Commencée en 1862 et achevée en 1865, elle est dédiée au violoncelliste et professeur de chant à la Singakademie de Vienne Joseph Gänsbacher, ami du compositeur. Initialement prévue en quatre mouvements avec un adagio au second, sa structure fut finalement ramenée à trois et l’adagio enlevé. La personnalité du dédicataire et son rapport au chant entrèrent-ils en ligne de compte dans la composition de l’œuvre, on l’ignore. Mais le caractère profondément lyrique du premier mouvement, auquel succède un allegretto/trio plein de charme et de grâce, puis un final fugué très intense, en font une œuvre d’une grande expressivité, à la fois forte, douce, poétique et désespérée.
Sonate pour Alto et Piano Op. 120 n°1
Les deux sonates pour clarinette ou alto op. 120 sont les dernières œuvres de musique de chambre de Brahms. Il les a écrites durant l’été 1894, trois ans avant sa mort et trois ans après l’écriture du trio op.114. C’est avec le même clarinettiste, son inspirateur Richard Mühfeld, que le compositeur au piano en assure la création en novembre 1894, devant un public rassemblant notamment Clara Schumann et Joseph Joachim.
Brahms réalise quelques mois plus tard une transcription pour alto, instrument dont la tessiture proche et la sonorité intime lui sont apparues parfaitement correspondre à ces deux sonates, où il n’est fait nulle place à un étalage de virtuosité mais où un chant intérieur se déploie, magnifique et noble.
Distribution
Sophie Cerf, alto
Cécile De Hann, violoncelle
Pierre Penisson, piano
Brahms: sonates et trio
Musée des Beaux-Arts
jeudi 19 mars 2020, 20h30
Programme annulé à cause du confinement, reporté à la saison prochaine
Distribution
Sophie Cerf, alto
Cécile De Hann, violoncelle
Pierre Penisson, piano
Le pouvoir que la musique exerce sur l’âme est admis depuis toujours. Depuis des millénaires, les hommes connaissent et craignent son emprise sur nos cœurs. Elle qui est dépourvue de toute la trivialité du langage et des formes visuelles, elle nous pénètre plus sûrement et sans détour. Beethoven fait entrer l’art musical dans une nouvelle dimension, composant des pages toutes-puissantes, capable de nous entraîner entièrement, abandonnés à elles. Il y parvient en faisant exploser les canons classiques formels, esthétiques, harmoniques. Sans rien renouveler au langage musical, il bouleversa définitivement les enjeux mêmes de la composition. Nous explorerons lors de cette conférence cette rupture unique dans l’histoire de la musique et tâcherons d’en comprendre les enjeux psychologiques.
Distribution
Hervé Guignier, clarinette
Cécile De Hann, violoncelle
Aurélien Pontier, piano
Conférence, Pierre Penisson
Réservations et renseignements au 02 37 23 42 79
Plein tarif: 17 € – Tarif réduit: 11 € - Moins de 12 ans: 8 €
mercredi 4 décembre 2019, 19h
vendredi 6 décembre 2019, 20h
samedi 7 décembre 2019, 17h
dimanche 8 décembre 2019, 16h
Drame en un acte Rainer-Maria Rilke
Lieder Franz Schubert
Musique de scène Anton Webern
Argument
C’est l’automne, fin d’après-midi. Des orphelins patientent dans un parc près d’une petite chapelle. Ils doivent aller prier pour une de leurs camarades qui est morte. Ils s’interrogent alors sur cet esprit impalpable qu’est l’âme.
Dans la lignée du symbolisme, Rilke crée un drame statique où les enfants questionnent l’existence. Sept garçons et six filles sont réunis dans un parc septentrional miroir d’une humanité simple face à sa destinée la plus tragique. Autour de ces enfants, Olivier Dhénin a réuni deux comédiens adultes et cinq musiciens. Plaçant tous ces personnages dans un univers vide et sobre qui pourrait évoquer aussi bien les limbes qu’un terrain vague, le metteur en scène confronte la gracile poésie à la voix fragile de l’enfance. Comme des veilleurs désemparés, les adultes bercent de leurs regards les enfants, tandis que la musique de Schubert et Webern fait écho au vers de Rilke. Le lied est partie intégrante de la poésie : les chants sont interprétés par les enfants mêmes qui disent les poèmes. Se crée ainsi une sorte de cantate païenne célébrant la vie et la mort de l’enfance, dans la lignée du Roi des Aulnes de Goethe.
Théâtre musical et poétique, Orphelins est une manifestation forte de l’enfance avec toute sa faiblesse, sa candeur et sa violence, préfigurant la jeunesse perdue de William Golding et Edward Bond.
Distribution
Alyzée Soudet, la religieuse
Antoine Cordier, le jardinier
Alexandra Soumm, violon
Anton Hanson - Alexandre Pascal, violons
Andreï Malakhov, alto
Côme Giraudon - Matthieu Lecoq, violoncelles
Traduction, mise en scène, scénographie et costume Olivier Dhénin
Lumière Anne Terrasse
Chef de chœur Pierre Barret-Mémy
Assistanat au costume Lou Bonnaudet
Masque Étienne Frasson-Cochet
Habilleuse Léa Dernet
Transcription musicale Pierre Penisson
Pianiste accompagnateur Matthieu Lecoq
Régie générale Thibaut Lunet
Régie plateau Héloïse Fizet
Poèmes de Maurice Maeterlinck
Musique de Lili Boulanger, Ernest Chausson, Claude Debussy, Jacques Ibert, Gustave Samazeuilh
Variées par la forme et la thématique, mais d’une étonnante unité de ton, les Quinze chansons forment autant de tableaux qui subliment, sans s’y réduire, les aspects spécifiques du premier théâtre de Maeterlinck. Des objets-symboles comme la couronne et l’anneau y acquièrent des rôles dans les sphères du social et de l’intime. Quintessence du théâtre symboliste, ces poèmes sont mis en mouvements en regard de la musique qu’elle a inspirée aux contemporains de l’auteur: telles les Serres chaudes d’Ernest Chausson ou les mélodies de Lili Boulanger et Jacques Ibert.
Distribution
Sandra Basso, jeu
Gabriel Caballero, jeu
Emmanuel Christien, piano
Corentin Garac, flûte
Adrien Fournaison, baryton
Olivia Lauret, jeu
Alexia Macbeth, mezzo-soprano
Alexandra Soumm, violon
Mise en voix et en espace, costume Olivier Dhénin
Transcription musicale Pierre Penisson
Le quintette est la formation emblématique du tango, choisie par ses illustres représentants Astor Piazzolla, Horacio Salgán et Pedro Laurenz pour son efficacité plastique et son intensité. L’intimité du quintette sert l’exigence rythmique du tango, ses brusques changements de tempo et l’élasticité de ses passages rubato. Les professeurs du conservatoire lui rendent hommage avec le répertoire original de ces monstres sacrés ainsi que les pièces fondatrices du début du XXe siècle de Agustín Bardi, Enrique Saborido, Eduardo Arolas, Mariano Mores, Aníbal Troilo.
Distribution
Catherine Coquet, hautbois
Hervé Guignier, clarinette
Sophie Cerf, alto
Cécile De Hann, violoncelle
Pierre Penisson, piano - arrangement
Réservations et renseignements au 02 37 23 42 79
Plein tarif: 10 € – Tarif réduit: 6 €
Aranjuez
Théâtre de Chartres
mardi 29 mai 2018
Debussy - De Falla - Rodrigo - Aranjuez
À la rencontre d’univers parfois fort différents, et de langages qui nous sont moins familiers: musique sensuelle et mystérieuse des Danses Sacrées et Profanes de Debussy, avec la harpe soliste, rigueur et concision du Concerto pour clavecin et petit ensemble instrumental de De Falla, archaïsme et génie mélodique du concerto d’Aranjuez pour guitare
de Rodrigo, et, pour finir, une incursion dans les très riches heures du tango argentin, avec les Quatre saisons de Piazzolla. Ce concert, imaginé par les professeurs est le moment culminant de la saison musicale du conservatoire.
Production Gaumont, LGM Cinéma SAS, TF1 Films Production
Composition Sylvain Goldberg, Xiaoxi Levistre, Emilien Levistre
Orchestration Pierre Penisson
Avec Franck Dubosc, Alexandra Lamy, Gérard Darmon, Elsa Zylberstein
Fantaisie lyrique d'après Pierre Loti & Érik Satie
Œuvre majeure du répertoire pour et avec des jeunes, Le Petit Ramoneur de Benjamin Britten est accompagné d'une fantaisie lyrique inspiré d’un texte inédit de Pierre Loti: Les Aventures de Monsieur Pygmalion Piquemouche et de sa poétique fiancée Clorinda. Alors que l’opéra de Benjamin Britten s’inspire de poèmes de William Blake et rappelle l’univers de Charles Dickens, le récit graphique composé par un Loti âgé de 14 ans et sa sœur Marie s’inspire des dessins de l’illustrateur suisse Rodolphe Töpffer. L’ouvrage enfantin a été agencé en livret par le dramaturge et metteur en scène Olivier Dhénin, agrémenté des espiègles mélodies et musiques d’Erik Satie. Ces deux petits opéras évoqueront tout en délicatesse les visions fugitives et fantasmagoriques de l’enfance et de l’imaginaire.
Distribution
Avec Juliette Raffin, Martin Coz-Elléouët, André Abdelmassih, Amalia Lambel, Marco Zelaya
Direction musicale Virginie Dejos
Mise en scène, scénographie, costume Olivier Dhénin
Assistanat au décor Livia Jouan
Assistanat au costume Lou Bonnaudet
Régie artistique Thibaut Lunet
Chef de chant Emmanuel Christien
Transcription musicale Pierre Penisson
Cantate poétique proposée par la Winterreise Compagnie Théâtre
Der Urwald est un livre ouvert sur nos souvenirs d’enfance, nos peurs secrètes, nos rêves étranges de bois dormant. Entremêlant mots et musiques, Olivier Dhénin convoque des figures emblématiques de la forêt, des personnages égarés qui se rappellent à notre souvenir. Ces « errants » prennent corps et parole, non pour raconter leur histoire, mais pour dire leur part manquante, celle d’après le conte, celle de la mémoire de leur âme captive en la forêt. Tels Siegfried, le héros de L’Anneau du Nibelung ; Blanche-Neige, la princesse morte et ressuscitée ; Hänsel, l’enfant perdu et abandonné…
Brahms J, Sextuor à cordes n°2 op. 36, 1er mouvement
Wagner R, Waldweben, Siegfried, Acte II
Mahler G, Das klagende Lied, « Waldmärchen »
Strauss R, Waldseligkeit
Zemlinsky A, Maiblumen Blühten überall
Textes de Rainer-Maria Rilke, Adalbert Stifter, Georg Trakl, Robert Walser
Distribution
Conception, dramaturgie et mise en voix Olivier Dhénin
Transcription Pierre Penisson
Comédiens Martin Coz Elléouët, Esther Garrel, Paul Spera
Céline Laly, soprano
Cyprien Brod - Sarah Jégou-Sagerman, violons
Ludovic Levionnois - Léon Van den Berg, altos
Côme Giraudon - Rémi Carlon, violoncelles
Je chante la vie parisienne! Les Frivolités Parisiennes
Le Frivol'Ensemble part en tournée dans l'Allier et la Loire du 15 au 18 juin prochain
Programme : Je chante la vie parisienne : De l'opéra-comique... aux années folles
Retrouvez les solistes de l'orchestre Les Frivolités Parisiennes avec Clémentine Decouture et Guillaume Paire
mercredi 15 juin 2016 à 18h30
Concert « 1830-1930 » au Salon de l’Hôtel de Ville de Moulins
jeudi 16 juin 2016 à 19h
Concert « Les Années Folles » dans le Grand Hall d’apparat des Thermes de Vichy
vendredi 17 juin 2016 à 20h
Concert « 1830-1930 » dans l’église de Saint Vincent de Boisset
samedi 18 juin 2016 à 20h
Concert « Les Années Folles » à l’Orangerie du Coteau
Jean-Christophe Maltot, flûte traversière
Frédérique Veyrac, flûte à bec
Priscille Lachat-Sarrete - Jacques Bonvallet, violons
Sophie Cerf, alto
Cécile de Hann, violoncelle
Pierre Penisson, conférence
Orchestre du Festival
Julien Masmondet, direction
Hélène Giraud, flûte
Florence Dumont, harpe
Eléonore Pancrasi, mezzo soprano
Loïc Corbery de la Comédie-Française, narrateur
Au début du XXe siècle, la rencontre – réelle – à New-York, d’un Maurice Ravel, musicien célèbre, et d’un George Gershwin, débutant et autodidacte. Récit d’une séduction réciproque orchestrée par une femme, Eva Gauthier, chanteuse et égérie. Parcours musical illustrant les correspondances entre les musiques de la comédie musicale américaine et la musique « sérieuse » française de l’époque.
Argument et texte, Manuel Cordouan
Mise en scène, Noura Talata
Arrangements musicaux et piano, Pierre Penisson
Patrick Delabre, Maurice Ravel
Philippe Frémont, George Gershwin
Noura Talata, Eva Gauthier
Joshua Newman, baryton
Au début du XXe siècle, la rencontre – réelle – à New-York, d’un Maurice Ravel, musicien célèbre, et d’un George Gershwin, débutant et autodidacte. Récit d’une séduction réciproque orchestrée par une femme, Eva Gauthier, chanteuse et égérie. Parcours musical illustrant les correspondances entre les musiques de la comédie musicale américaine et la musique « sérieuse » française de l’époque.
Argument et texte, Manuel Cordouan
Mise en scène, Noura Talata
Arrangements musicaux et piano, Pierre Penisson
Patrick Delabre, Maurice Ravel
Philippe Frémont, George Gershwin
Noura Talata, Eva Gauthier
Joshua Newman, baryton
Opéra en un acte
Musique August Enna
Livret Ove Rode d’après le conte d’Hans Christian Andersen
Argument
Alors que le réveillon de la Saint Sylvestre se prépare avec entrain dans toutes les maisonnées, la jeune Marie cherche péniblement à vendre des allumettes aux passants indifférents. Las et transie de froid, elle cherche à se réchauffer en craquant une allumette. La flamme devient alors le reflet de ses plus ardents désirs : la voici au milieu d’un foyer où une mère berce son enfant endormi près du feu. A la deuxième allumette, des enfants joyeux l’entrainent dans une danse autour d’un sapin. Enfin la dernière allumette répond à son vœu le plus cher : se retrouver auprès de sa mère, la seule personne l’ayant jamais aimée mais malheureusement décédée.
Passionné des contes d’Andersen, le compositeur danois August Enna livre une interprétation touchante, aux douces harmonies. La petite fille aux allumettes, créée le 13 novembre 1897 au Casino Teater de Copenhague, rencontra un très bel accueil du public et fut jouée quatorze fois au cours de la première saison. Le Théâtre Royal de Copenhague n’inscrivit La petite fille aux allumettes à son programme qu’en 1937 mais l’accueil du public n’en fut pas moins triomphal. Outre dans Wagner, August Enna puise son inspiration dans l’œuvre de Giuseppe Verdi, ainsi que dans celles des compositeurs romantiques danois, comme Heise et Lange-Müller.
Distribution
Avec Valentine Martinez et Juliette Raffin-Gay, sopranos
Direction musicale Julien Masmondet
Mise en scène, dramaturgie et scénographie Olivier Dhénin
Lumière Anne Terrasse
Costume Hélène Vergnes
Collaboration artistique à la scénographie Amélie Lauret
Collagraphie Katherine Jones
Chorégraphie Gabrielle Tallon
Assistanat à la mise en scène Aurélien Demey
Assistanat au décor Thibault Lunet
Assistanat costume Lou Bonnaudet
Transcription Pierre Penisson
Chef de chœur Estelle Vernay
Chefs de chant Emmanuel Christien, Simon Nebout
Chœur des ensembles vocaux du Pays Rochefortais
Orchestre des Étudiants des Pôles supérieurs de Musique de Bordeaux & Poitiers
G. Fauré, Masques et bergamasques
J. Ibert, Divertissement
A. Roussel, Concert
É. Satie, Parade
R. Hahn, L'énamourée
R. Hahn, L'heure exquise
M. Yvain, Je chante la nuit
M. Yvain, Mon homme
M. Yvain, Yes!
F. Poulenc, Les biches, Rondeau et Adagietto
Duo Hans et Lisbeth, Le Joueur de Flûte Louis Ganne
Comme d’autres pays d’Amérique latine, où se croisent la musique baroque, la danse, le classique et le jazz, Cuba est l’exemple même du croisement des cultures et du métissage en musique. Le professeur d’écriture Pierre Penisson chausse ses lunettes (noires) de conférencier et nous propose un programme illustrant ces complicités. Les pièces cubaines présentées sont des standards qui inspiraient la musique de Noro Morales dans les années 50.
Jean-Christophe Maltot, flûte
Louis-Vincent Bruère, clarinette
Véronique Drouet, trompette
Miléna Duflo, percussions
Patrick Hoarau, contrebasse
Pierre Penisson, piano
Concert violon piano
Concert A tempo
jeudi 17 octobre 2013
Sonate de César Franck
Fantaisie Carmen
Tsung Han Wu, violon
Pierre Penisson, piano
Horizons chimériques Les Solistes
Mairie du XVe arrondissement de Paris
mardi 11 juin 2013
Un voyage musical avec Fauré, Duparc, Ravel et Debussy
Ensemble Les Solistes
Aurélia Legay, soprano
Jean-Michel Ankaoua, baryton
Hélène Delavault, récitante
Victorien Vanoosten, direction